En France, l’humour connaît un essor sans précédent. Radio, télé, presse écrite, plateformes, séries, réseaux sociaux, salles de spectacle, jusqu’aux conventions d’entreprises… Les humoristes sont partout ! Il touche toutes les générations, tous les publics… Les humoristes constituent une valeur sûre du spectacle vivant. Toutes les études montrent que les personnes recherchent avant tout de nouvelles expériences pour les faire sourire et rire…
Le programme pour les émissions "Solaé, le rendez-vous protestant" sur France Culture, "Présence protestante" sur France 2 ainsi qu'une sélection de podcast et de vidéo.
Les temples du Nord-Pas de Calais racontent une histoire, la nôtre. La logique est donc de les appréhender dans un ordre plutôt chronologique. Mais il ne reste aucun temple de la période espagnole du XVIe siècle.
Samuel Bastide (1879 - 1962) nous a laissé plus de 2000 plaques de verre illustrant l’histoire des huguenots en particulier mais pas uniquement. Comme ces plaques sont peintes, l’œuvre de Samuel Bastide s’inscrit dans la thématique de cette série d’articles et même la clôture.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon compte une grande variété de toiles des maîtres hollandais, vanités, paysages, portraits… Mais l’une d’entre elles aborde une question peu fréquente, la dispute théologique. Pourtant le message transmis est autant politique que religieux.
Sur cette toile Rembrandt mélange les genres et utilise la technique qui lui est chère, le clair-obscur. Mais le plus novateur dans cette peinture est bien le message qui nous est transmis. L’artiste hollandais y rend visible l’invisible, nous montre le primat de la Parole sur l’image, un tour de force qui nous plonge au cœur de la Réforme.
Cette œuvre anonyme fait partie des collections du musée Gadagne, le musée historique de la ville de Lyon. Elle est datée des environs de 1565, donc peu de temps après les événements décrits. Les inscriptions dénonçant l’iconoclasme des protestants et l’impiété de Calvin semblent en faire une œuvre de propagande catholique… ce que contredit pourtant une analyse fine du tableau !
Toute la création de Dieu retient mon attention. J’ai l’impression de le voir et j’ai l’impression qu’il me voit. Un échange de regards à travers les nuages.
La réflexion n’est certes pas nouvelle, mais pour moi elle est réactivée par des documentaires sur les découvertes de ces dernières années concernant le cosmos.
Blaise Pascal a bien résumé le vertige de l’homme face à l’Univers : « Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie[i] ». Mais, à l’heure actuelle, tout n’est-il que mécanique quantique ? Où est l’action créatrice de Dieu ?
Voici un point d’étape des connaissances actuelles en cosmologie.
[i] Pensées, 233, édition de Philippe Sellier, Bordas, 1991.
À la fin des années 1950, sous la direction d’André Lwoff, les biologistes français François Jacob et Jacques Monod postulaient qu’une molécule servait d’intermédiaire entre les gènes de l’ADN et le lieu de fabrication des protéines. Ils obtinrent en octobre 1965 le prix Nobel de médecine pour leur découverte de l’ARN messager (ARNm). Bien que l’utilité de cette découverte apparût évidente à leurs auteurs, celle-ci se heurta à différents obstacles qui empêchèrent la poursuite de recherches fondamentales. À méditer…
Les éditions modernes de nos bibles présentent un texte clair, à la typographie précise. Numéros de chapitres, versets, sous-titres, tout en facilite la lecture. Comment peut-on encore se rendre compte de la complexité des documents qui sont à l’origine du texte imprimé que nous tenons aujourd’hui entre nos mains alors que nous ne possédons plus aucun document original des textes rassemblés dans le Nouveau Testament ?